• dimanche 6 janvier 2019
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    Culture

    Da Said, le poète zen de l’Amazighitude

    Rédaction Amazigh 24

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    Djanet, la capitale des Touaregs du Sud d’Algérie

    From « Djanet, Algeria » with love from Abderrafia Elabdioui on Vimeo. Rédaction Amazigh 24

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    La Soprano Amel Brahim Djelloul chante « Ay Al Xir Inu » de Idir .

    Rédaction Amazigh 24

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    Tahar Benjelloun: je vois mal un marocain parler à l’épicier en arabe classique

    Invité spécial de l’émission « confidences de presse » diffusée dimanche soir sur 2M, Tahar Ben jelloun a défendu corps et âme la langue arabe classique. « C’est une langue prestigieuse qu’il y a lieu de préserver » souligne l’ écrivain panarabiste qui n’écris que dans la langue de Molière. Interrogé sur la nécessité de programmer « la darija » dans l’école, il répond: « il n’y ...

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    17 intérieurs modernes sublimés par les tapis berbères des Ait Ouarain

    Rédaction Amazigh 24

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    Le Rythme Gipsy en Amazigh

    Rédaction Amazigh 24

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    « Give Me Your Hand » en Amazigh, enflamme la toile

    Rédaction Amazigh 24

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    intervention de Karima Ouazar, lors du mois Amazigh à Montréal

    Le Mois Amazigh de Montréal qu’organise la Fédération des Amazighs de l’Amérique du Nord (FAAN), est un événement annuel qui coïncide avec la commémoration du printemps berbère de 1980 et du printemps noir de 2001 en Kabylie, en Algérie. Voici l’intervention de karima Ouazar lors de l’une des conférences sur la lutte amazigh… Rédaction Amazigh 24

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    8 sublimes tableaux de Louis John Endres sur les Amazighs (1926)

    Rabat (Amazigh 24)-   l’oeuvre de Louis John Endres est dédiée à la beauté du Monde Amazigh,  Il a étudié à l’école des Beaux-Arts de Cincinnati puis à la Fondation Tiffany de New-York. Il s’installe ensuite en France. De 1926 à 1930 il effectue de nombreux voyages au Maroc et finit par s’installer à Rabat en 1931. Il devient membre de la ...

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    Dafina, le plat mythique des juifs amazighs d’Afrique du Nord

          Il y avait au mellah de Rabat une dizaine de fours à pain. C’était là que toutes les familles juives déposaient leurs pains à cuire le vendredi ainsi que la dafina. Le samedi midi était une fête. Le jour où je me régalais avec mon repas préféré : la dafina, le plat mythique de mon enfance. Le ...

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